À l’heure où le numérique s’immisce dans toutes les expressions artistiques, la danse s’affirme plus que jamais comme un art essentiellement humain. N’étaient les parades nuptiales de maintes espèces animales, on pourrait dire en paraphrasant Rabelais que la danse est le propre de l’homme.
> L'exposition du 20e Festival de l'Imaginaire se poursuit à Paris
Les kokdu sont des figurines en bois peintes de couleurs vives. Elles ont joué un rôle important dans les cérémonies funéraires coréennes tout au long de la période Joseon (1392-1906) et jusqu’au milieu du XXe siècle.
> Concert dans le cadre du festival « La Terre est à nous »
Waed Bouhassoun, chanteuse et oudiste syrienne, compose les musiques qui l’accompagnent pour interpréter les poèmes des grands mystiques et d’amoureux célèbres de l’époque pré-islamique à nos jours.
Elle chante et joue un répertoire qui vient de très loin, de ce berceau de la musique arabe que fut le vaste territoire de la Perse antique. Sa voix chaude et profonde fait merveille dans les chants soufis de l’Orient arabe et dans le muwashah, la broderie vocale classique qu’a pratiquée avant elle Oum Kalsoum.
> Racha Rizk, Waed Bouhassoun, Moslem Rahal, Ibrahim Keivo
A l’heure où la Syrie s’enfonce un peu plus dans le chaos, écoutons et rencontrons des artistes meurtris qui témoignent de la diversité et de la richesse des peuples, des langues, des cultures, qui forment le pays. Quatre concerts de musique traditionnelle de régions différentes de la Djezireh au Djebel Druze.